Problèmes capillaires chez les hommes : les bonnes questions à se poser
Aujourd’hui, 70 % de la population masculine souffre tôt ou tard d’un problème de calvitie. Cette alopécie se manifeste à des âges divers et à des degrés différents. Elle touche principalement les hommes âgés de 18 à 50 ans. Face à ce véritable fléau, quels conseils donner à ces Messieurs pour trouver LA solution appropriée et augmenter leur bien-être ? C’est la question à laquelle répond cet article.
Hommes chauves ou dégarnis : rassurez-vous, vous n’êtes pas seuls
Le premier conseil à donner à ces Messieurs qui se sentent isolés face à leur problème de calvitie ou d’alopécie androgénétique est de se rassurer : vous êtes loin d’être seuls dans ce cas. Tous les hommes sont munis d’une enzyme appelée 5-alpha réductase qui seule, est inoffensive, mais combinée à la testostérone, provoque une accélération de la fatigue du bulbe folique. Résultats : les cheveux perdent leur épaisseur et leur couleur originelles, et finissent par tomber. Cette enzyme est présente à hauteur de la zone frontale et du vertex.
Il existe autant de types de calvities qu’il existe de causes. La perte des cheveux peut être due à un choc émotionnel, à la pollution, au stress, à une infection du cuir chevelu, à une carence en vitamines, à la trichotillomanie et à bien d’autres facteurs. Quel qu’en soit l’élément déclencheur, sachez qu’il existe une voire plusieurs solutions envisageables.
Médicaments, tricopigmentation et greffe de cheveux : envisagez les traitements des moins aux plus invasifs
Le second conseil à dispenser aux hommes touchés par l’alopécie serait d’envisager des solutions dans un ordre crescendo. Commencez par exemple par des médicaments ou des lotions qui ralentissent le cycle de régénération du cheveu et donc sa chute. À noter toutefois que cette solution ne fait que retarder l’inévitable…
Si vous désirez aller plus loin dans le traitement de votre calvitie, vous pouvez ensuite envisager des séances de tricopigmentation du cuir chevelu à Namur. Elles apporteront un effet tantôt densifié, tantôt rasé à votre chevelure en fonction de la quantité de cheveux que vous possédez encore. Soulignons que la tricopigmentation est tout public : tous âges, sexes et origines ethniques confondus.
Enfin, la solution la plus invasive est la greffe de cheveux puisqu’elle nécessite une anesthésie locale du patient.
Messieurs, sachez par ailleurs que ces trois traitements sont parfaitement conciliables.
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