La dermopigmentation pour les personnes souffrant d’alopécie areata, totalis ou universalis

Source de frustration et de complexe, l’alopécie, qu’elle soit areata, totalis ou universalis, est une forme de pelade extrême et soudaine. À travers le cas de Benjamin, un jeune homme de 17 ans ayant opté pour la dermopigmentation comme solution à son alopécie universalis, nos spécialistes de l’esthétique à Namur vous en disent plus sur le phénomène.

Qu’est-ce que l’alopécie ?

Benjamin est âgé d’à peine 17 ans lorsque les premiers symptômes d’une alopécie se déclarent. L’alopécie se définit comme la chute partielle ou totale des cheveux et/ou des poils.

Sans raison, les follicules pileux se referment et entraînent la disparition des poils. Dans certains cas, l’apparition de la maladie est extrêmement soudaine comme pour Benjamin. Ces alopécies peuvent toucher tout le monde, indépendamment de l’âge, du sexe ou de l’origine ethnique.

Alopécie areata, totalis et universalis : quelles sont les différences ?

On distingue diverses formes de pelade, en fonction de la zone du corps touchée par le phénomène :

• Alopécie Areata. La maladie provoque exclusivement la perte des cheveux;
• Alopécie Totalis. La pelade concerne le cuir chevelu, les cils ainsi que les sourcils;
• Alopécie Universalis. Le malade perd la totalité de sa chevelure ainsi que sa pilosité faciale et corporelle (cils, sourcils, barbe, duvet, poils des jambes, des bras, des aisselles, pubiens, du nez…) ;

Notez que la calvitie est quant à elle une alopécie androgénique se distinguant par son caractère évolutif et héréditaire.

L’alopécie de Benjamin est rapidement qualifiée d’universalis. Ainsi, en l’espace de quelques semaines, Benjamin perd l’entièreté de ses cheveux, les poils de son visage et de son corps.

La dermopigmentation et la tricopigmentation, des solutions concrètes à l’alopécie

Le calvaire de Benjamin prend fin lorsqu’il découvre la dermopigmentation. Cette technique novatrice en Belgique et non invasive, utilisée en maquillage permanent, consiste à introduire des micropigments biorésorbables dans le derme afin de reconstruire le sourcil. Le procédé, jouant sur l’illusion d’optique, redonne alors structure, volume et densité.

Parallèlement à la dermopigmentation, la tricopigmentation permet grâce à la même technique d’apporter une solution esthétique concrète à l’alopécie capillaire.

Qu’il s’agisse de dermopigmentation ou de tricopigmentation, les techniques du maquillage permanent utilisées à des fins paramédicales permettent d’offrir aux personnes atteintes d’alopécie un certain confort de vie.

Grâce à la dermopigmentation, Benjamin s’est senti revivre. La perte de ses sourcils fut une réelle épreuve. Afin de dissimuler son problème, il redessinait ses sourcils au crayon. En effet, sans sourcils, le visage devient inexpressif et perd son pouvoir de communication non verbale. Une fois cette pilosité reconstruite, le jeune homme a pu reprendre un train de vie normal et envisager des activités banales telles que se baigner, partir en vacances…

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